Geoffrey GRIMAUD

La vie ne te méritait pas et ne mérite pas un homme de ta tramp.. Qui peut croire qu'elle fut aussi cruelle pour un Homme au coeur aussi immense que le tien. Et d'une gentillesse inconditionnelle et indéfectible. Si tu avais été un acteur, tu aurais endossé le rôle du BON, c'est une certitude.
Et pourtant, cette VIE, t'as tout fait sauf des cadeaux. Alors que tu étais le premier à en offrir.
Oui, mon Geogeo, ce n'est même pas le cœur que tu avais dans la main mais l'humanité toute entière.
Jamais tu n'as levé la main sur quelqu'un. Pas part peur, tout simplement parce que tu n'étais pas comme cela et tu détestais la violence. Pourtant de la force, tu en avais. Comme quand tu étais petit je me rappelle, tu t'amusais à faire de la lutte avec Juju. (D'ailleurs, mon Juju, j'espère que tu vas accompagner mon Geogeo tout là-haut, je te fais confiance. ♥)Aussi, il y avait cette fois quand tu m'as défendu à un foot parce que je jouais à fond avec passion et Grinta. Et toi, tu n'as hésité une seconde à t'interposer et calmer leurs ardeurs. 
À quel point tu étais Bon, mon Geogeo ! Bon dans tes pâtisseries. Bon parce qu'avec toi, on savait qu'on pouvait compter. Tu étais le genre de personne qui avait débarqué avec des sabres à la main alors qu'un de tes meilleurs amis t'avais fait croire qu'il était en danger.. C'est tout toi, tu donnais tout ! Sans jamais rien attendre en retour, jusqu'à même ta vie, s'il fallait. 🥲Apparemment, ce n'était pas suffisant, pour avoir la vie que tu as toujours espéré voulu avoir.. Un appartement pour toi, une femme, une famille..La vie ne te méritait vraiment pas.ET MALGRÉ cette dureté, tu es cet homme qui s'est battu sans relâche, avec force et abnégation. Ce jour du 9 juillet, jour de ton anniversaire, quand tu as pris le chemin de Médipole, tu me l'as dit, en toute sincérité : "Je vais partir Jhon".. Tu sais que j'aurai soulever toute la Terre entière pour te sauver. Mon voyage à Lourde n'a rien fait.
Et pourtant, malgré tout, qu'est-ce que tu as été fort. Semaine après semaine, tu tenais le coup, tu reprenais goût à la vie, en partie grâce à tes amis.Les meilleurs, eux aussi, ils ne voulaient pas. Eux aussi, ils voulaient faire partie de ta bataille et en découdre avec ta maladie..Mais peu à peu cette vie-là, comme tu disais très bien " J'en ai marre". En même temps, elle t'avait tout fait sauf t'épargner. Pourtant, la tête haute, tu l'aimais. Même jusqu'à la fin, tu as attendu le dernier moment pour partir. Et avec le sourire, malgré tout.Ceux sont pour ces moments comme celui-là que je suis heureux d'avoir eu ce parcours. Parce que grâce à cela, j'ai pu t'accompagner jusqu'au bout.. Et sincèrement, beaucoup voient de la tristesse. J'en ai vu une chance de pouvoir te témoigner tout l'amour que j'ai pour Toi, en t'accompagnant jusqu'au bout, dans ce moment si solennel.Tu as été d'un courage si héroïque que même les samouraïs les plus férus t'auraient envié. Ta docteur partie en vacances, n'y a pas cru une seconde. Pourtant on lui avait bien dit, en rigolant, que t'étais un dure à cuire !et pourtant, tu étais encore là. Comme dirait ceux du côté du padré, un vrai Richaud/Grimaud. Ou alors de l'autre côté, un vrai Polak. Mais au fond, quel que soit ta carrure, ta volonté de vivre, indirectement, était omniprésente. Parce que malgré tout ce que tu as enduré, tu aimais profondément la VIE.À jamais dans mon cœur et dans mon esprit, Jimbo ♥️

Geoffrey,
Nous nous sommes malheureusement perdus de vue ces dernières années, mais les moments passés ensemble plus jeune me resteront encore longtemps en mémoire.

Toutes les condoléances à la famille et aux proches, ainsi que beaucoup de courage et de force pour supporter tout ça.

Geogeo ☺️ repose en paix grand homme.
Aujourd’hui, les mots semblent bien faibles pour exprimer ton départ. Tu étais si jeune et pourtant, tu avais déjà traversé tant d’épreuves, affronté tant de tempêtes. Mais jamais elles n’ont réussi à ternir ta lumière.
Joyeux, toujours. Serviable naturellement. Respectueux, profondément. Tu avais cette force silencieuse de ceux qui ont connu la dureté de la vie mais qui choisissent malgré tout d’aimer, de rire, de donner.
Tu ne te plaignais jamais. Tu avançais. Et tu nous entraînais avec toi, par ton énergie, ta bienveillance, ton authenticité. Tu restes vivant dans chaque éclat de rire partagé, chaque geste de gentillesse, chaque souvenir gravé.
Que la paix t’accompagne maintenant, là où les douleurs s’effacent, là où la lumière ne faiblit jamais. Et que ton souvenir continue de nous guider.
🪽🕊️

Toutes mes condoléances à la famille. Quand je repense a nos années de collège, on jouait au foot et tu étais toujours celui qui organisait ça. C’était de bon moment. Ton humilité et ta gentillesse restera en nous. Bon voyage Geoffrey